Et si votre fatigue cachait plus qu’un simple coup de mou ?
Vous vous sentez vidé au réveil, la tête pleine le soir, incapable de décrocher même quand tout est calme ?
Vous avez beau vous dire que « ça va passer avec 2 ou 3 jours de repos », au fond, vous sentez bien que quelque chose ne va pas.
Si vous lisez ces lignes, c’est peut-être parce que vous cherchez un traitement du surmenage ou que vous vous demandez si vous n’êtes pas déjà en train de basculer.
Le surmenage n’est pas une petite fatigue passagère. C’est un état d’épuisement profond qui prend racine à la fois dans le corps et dans l’esprit. Et la vérité, c’est que beaucoup trop de personnes repoussent leurs limites sans s’écouter… jusqu’au moment où le corps dit stop.
Reconnaître les signes du surmenage
Avant de penser au traitement, il est essentiel de reconnaître les signaux physiques et émotionnels que votre corps et votre mental vous envoient.
Les signes physiques les plus fréquents
- Fatigue persistante qui ne disparaît pas avec quelques nuits de sommeil.
- Douleurs dans le dos et les cervicales, maux de tête récurrents.
- Troubles digestifs ou problèmes de peau liés au stress.
- Insomnies, réveils nocturnes, sommeil non réparateur.
Autres signaux plus discrets, mais révélateurs : boule à l’estomac, vertiges, fatigue oculaire, hypersensibilité au bruit ou à la lumière, chute de cheveux.
Ces symptômes pris séparément semblent anodins, mais accumulés, ils indiquent que votre corps ne suit plus le rythme. Les ignorer, c’est avancer vers l’épuisement physique.
Les signes psychiques et émotionnels
- Fatigue intellectuelle, difficultés à se concentrer et à retenir des choses simples.
- Stress, anxiété, ruminations incessantes, surmenage mental permanent : votre cerveau ne s’arrête jamais.
- Perte d’envies, sentiment de vide et découragement.
- Hypersensibilité émotionnelle (peurs, tristesse, colère, irritabilité, perte d'envie, baisse de confiance en soi, envie de s’isoler...)
Ces symptômes de fatigue psychologique et physique ne sont pas à minimiser. Ils constituent une véritable alarme intérieure. Les ignorer, c’est avancer droit vers l’arrêt maladie pour surmenage, avec le risque que votre corps vous impose brutalement un repos que vous auriez pu prendre plus tôt.
Test surmenage : êtes-vous concernée ?
Cochez les affirmations qui vous correspondent :
 
  ☐ Je me sens fatiguée dès le réveil, même après une nuit complète.
☐ Je n’arrive plus à me concentrer sur une tâche simple.
☐ J’oublie de plus en plus de choses.
☐ Je n’arrive pas à décrocher, même le week-end ou en vacances.
☐ Mon entourage me trouve plus irritable ou absente qu’avant.
☐ Ma liste de choses à faire me semble interminable.
☐ Je me sens vidée émotionnellement.
Résultat :
0 à 2 cases cochées : restez vigilante, vous commencez peut-être à accumuler trop de pression.
3 à 4 cases cochées : attention, les signes de surmenage sont déjà bien présents.
5 cases ou plus : votre corps et votre esprit tire la sonnette d'alarme !
Si vous vous reconnaissez dans plusieurs points, ce n’est pas « dans votre tête ». Ce sont des symptômes de surcharge mentale.
Surmenage mental : quand la tête ne s’arrête plus
 
  Le surmenage mental est insidieux. Que vous soyez à la maison ou au travail, votre cerveau est en ébullition et vos pensées dérivent sans cesse. Cette incapacité à débrancher est un signal fort.
- Vie professionnelle : perte de performance, erreurs inhabituelles, impression de courir sans rattraper son retard.
- Vie personnelle : épuisement maternel ou parental, jongler entre travail, enfants, maison, sans jamais avoir une minute pour soi.
Résultat : un sentiment d’oppression et l'impression d’être piégée dans une roue qui ne s’arrête jamais.
Surmenage, burnout : quelle différence ?
Le surmenage est une fatigue progressive, physique et mentale, qui survient lorsque nous dépassons nos limites trop longtemps. Il se manifeste par une énergie qui diminue, un mental qui s’emballe et des tensions qui s’accumulent.
Si cette surcharge continue, le surmenage peut évoluer en burnout : un effondrement complet du corps et de l’esprit. On se retrouve sans énergie, avec des émotions intenses, une anxiété permanente et une capacité de concentration altérée. Le burnout peut toucher le travail, mais aussi la vie familiale lorsqu’on cumule trop de responsabilités.
Repérer les signes de surmenage avant d’atteindre ce stade critique est essentiel. Agir tôt permet de retrouver de l’énergie et de prévenir un arrêt forcé, avant que le corps n’impose un repos obligatoire.
Surmenage : des causes multiples qui s’accumulent
Le surmenage résulte souvent d’un mélange de facteurs, qui s’additionnent jusqu’à créer une charge insupportable. Comprendre ces causes aide à agir avant que l’épuisement ne devienne total.
Causes immédiates : travail et vie personnelle
Au travail :
- Pression des objectifs et deadlines impossibles
- Emails, appels et réunions incessants
- Rythme effréné sans pause
- Stress lié à la rentabilité ou à la désorganisation
- Difficulté à exprimer son mal-être par peur de paraître faible
À la maison :
- Jongler entre enfants, repas, maison, rendez-vous...
- Être disponible pour tout le monde sauf pour soi
- Impression de ne jamais en faire assez
- Sentiment de courir sans cesse, renforcé par le flux constant d’informations
Causes sociétales : un environnement qui épuise
- Manque de sommeil : écrans, anxiété et rythme effréné perturbent le repos
- Absence d’apprentissage à prendre soin de soi : émotions réprimées qui se traduisent par troubles physiques et mentaux
- Alimentation déséquilibrée : trop grasse, trop sucrée, trop transformée
- Sédentarité : manque d’activité physique qui fatigue et fragilise
Facteurs individuels : une sensibilité particulière
- Perfectionnisme : vouloir que tout soit impeccable
- Personnalité volontaire : avancer toujours pour les autres, mais négliger ses besoins
- Santé fragile : maladies chroniques ou auto-immunes
- Hypersensibilité ou Haut Potentiel Intellectuel : fonctionnement intense qui consomme beaucoup d’énergie
Se reconnaître dans ces causes est un premier pas vers le changement. Plus elles s’accumulent, plus le risque de basculer vers l’arrêt maladie pour surmenage devient réel.
Arrêt maladie surmenage : quand le corps impose le repos
 
  
Cet arrêt n’est pas une punition. 
C’est une mise en sécurité, une manière de vous protéger d’un effondrement plus grave : le burnout.
Mais pourquoi attendre ce stade extrême ? 
Pourquoi laisser la situation se dégrader au point de ne plus avoir la force de se lever le matin ? 
Reconnaître tôt les signes du surmenage et chercher un traitement adapté peut vous éviter de vivre ce point de rupture.
Combien de temps pour se remettre d'un surmenage ?
C’est une question que l’on me pose souvent, mais la réponse dépend de plusieurs facteurs :
- La gravité des symptômes.
- Le moment où l’on décide de prendre en main la situation.
- La capacité à réduire les sources de stress.
- Le type d’accompagnement choisi.
Certains retrouvent de l’énergie en quelques semaines avec un vrai repos et suivi adapté. Pour d’autres, surtout après un arrêt maladie, il faut plusieurs mois pour réapprendre à écouter son corps. Plus vous attendez, plus la récupération sera longue.
Ce qui est certain, c’est que plus vous attendez, plus la récupération sera longue.
Quel traitement du surmenage ?
Pas de pilule miracle. Le vrai traitement repose sur deux piliers.
- Réduire les causes : revoir son rythme, demander de l’aide, réorganiser ses priorités.
- Se régénérer : redonner au corps et au mental les moyens de récupérer.
C’est dans ce second pilier que le Shiatsu trouve toute sa place.
Le Shiatsu : une aide naturelle pour traiter le surmenage
Le Shiatsu est un massage japonais basé sur la Médecine Traditionnelle Chinoise qui utilise des pressions sur des points d'acupuncture pour rééquilibrer le corps et apaiser l’esprit.
Ce que le Shiatsu apporte dans le traitement du surmenage
 
  - Apaise le stress et l’anxiété : les pressions détendent le système nerveux et réduisent l’agitation mentale.
- Soulage les douleurs physiques : tensions du dos, des épaules, migraines liées au stress.
- Améliore le sommeil : un corps détendu retrouve plus facilement un sommeil réparateur.
- Restaure l’énergie : en libérant les blocages, le corps peut enfin se régénérer.
Des exemples concrets
Une maman épuisée par les journées sans fin retrouve un sommeil réparateur après quelques séances.
Un cadre en surmenage au travail parvient à relâcher ses tensions et gère mieux la pression.
Une personne hypersensible, envahie par ses émotions, retrouve un apaisement intérieur.
Chaque séance agit comme une respiration, une parenthèse où le corps reprend le dessus sur le mental.
Passez à l’action avant qu’il ne soit trop tard
Si vous vous reconnaissez : fatigue persistante, irritabilité, insomnies, douleurs… n’attendez pas que le corps vous impose un arrêt maladie forcé.
Le Shiatsu peut vous aider à retrouver énergie et clarté. Plusieurs séances rapprochées permettent de rééquilibrer votre organisme en profondeur, puis de les espacer pour entretenir ce bien-être.
Si vous habitez à Roanne, Le Coteau ou les environs, je vous accueille dans mon cabinet pour vous accompagner. N'attendez plus, réservez dès aujourd’hui votre séance de Shiatsu.
Je reprends ma vie en main avant que le surmenage ne m'impose un arrêt forcé
 
       
   
   
   
  